Les Quinconces L'espal - Scène nationale du Mans

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Amala Dianor en résidence

GRAND ENSEMBLE

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Amala Dianor et la danseuse Nangaline Gomis étaient en résidence à L'Espal du 14 au 18 juin. Ensemble, ils ont travaillé sur le solo Wo-Man programmé à la Scène nationale la saison prochaine dans le cadre de FA-7, week-end autour des danses urbaines dont la programmation a été confiée au chorégraphe.

Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man
Nangaline Gomis - Amala Dianor - Wo Man


C’est sa rencontre avec Nangaline Gomis en 2018 qui inspire à Amala Dianor Wo-Man.

Alors danseuse en formation au Conservatoire National Supérieur de Danse de Lyon, Nangaline Gomis avait sollicité le chorégraphe pour reprendre un extrait de Man Rec dans le cadre de ses études., solo de danse interprété par Amala Dianor.

Deux jours de studio ensemble et une mention très bien à l’examen, et puis chacun a repris sa route. Mais l’idée d’une transmission plus longue à cette jeune danseuse extraordinaire et, elle aussi, franco-sénégalaise, infuse doucement, comme une évidence.

En 2020, Amala Dianor, plutôt qu’une reprise de son solo, imagine pour elle un prolongement de la chorégraphie, une re-création sur le corps d’une jeune femme.

Interprète à l’énergie pulsatile, Nangaline offre à l’auteur de se transposer dans un autre corps que le sien, pour ré-inscrire, re-construire, ré-inventer son histoire. Ce solo résonne comme une extension, un prolongement de soi-même qui s’appuiera sur la tonicité, la vitalité et la ferveur d’une jeune interprète engagée.

« Man » signifie « moi » en Wolof. « Man Rec », c’était « moi seulement ». « Wo-Man » sera ainsi la version féminine de ce «moi» choral, riche d’influences diverses, de racines plurielles.